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À vous la parole (17 commentaires)

« Je voulais vous remercier Père Sylvain puisque j’ai eu le bonheur de partager avec vous le Pain de l’Eucharistie et le pain de la table à Beaufort. Ce fut un petit moment de paradis
Bon dimanche »

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C Frigout - 18 août 2024 - 10:59

« L'amour est la première nourriture qu'il nous faut pour vivre.
Un enfant abandonné, peut se laisser mourir. Il ne grossit pas, ne se développe que très lentement.
Adopté, il trouve l'amour dans les bras d'une maman. Cet amour, c'est son premier pain d'amour, pain de vie. Il s'en nourrit, il sourit et vit.
Si nous croyons que le Seigneur nous a adoptés et que le pain qu'il nous donne, c'est Son amour, Son pain d'amour, alors nous grandirons dans cet amour, nous seront transformés et croirons que "celui qui mange ce pain vivra éternellement."

Ce petit pain dans nos mains, c'est Ton Amour dans nos mains !
Que je sache le savourer et l'aimer, tout comme Ta Parole inséparable de ce pain.

»

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Geneviève - 18 août 2024 - 10:49

« « Croyons-nous que si nous répondons présent, nous serons heureux ? Croyons-nous qu'à ce repas, l'éternité fera irruption dans notre présent ? »
L’expérience m’a montré que ce n’est pas toujours le cas. Et pourtant je le croyais. J’espérais tant dans l’eucharistie. Peut-être trop d’ailleurs?…
Et d’autres expériences m’ont montré que même sans cela on peut être heureux.
Les chrétiens et leurs sacrements n’ont pas le « monopole du bonheur ».
Et quand bien même c’est leur Dieu qui comble, Il peut le faire même loin de la table eucharistique, des rites et des sacrements religieux.
La foi, qu’elle qu’elle soit, est le chemin, la vérité et la vie, de celui qui croit, même de celui qui croit en rien. »

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Patricia - 18 août 2024 - 9:19

« Excusez moi, mauvaise manipulation
.
Merci à toutes les personnes qui participent à cet »

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Raymonde - 18 août 2024 - 9:03

« Bonjour, comment effacé t on un comment »

Raymonde - 18 août 2024 - 9:10

« Merci à toutes les personnes qui participent à la préparation de ce »

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Raymonde - 18 août 2024 - 9:00

« Bonjour,
Merci pour votre méditation frère Sylvain.
Le Pain de Vie nous transforme.
De la mortalité à l’immortalité.
De la vie terrestre à la Joie Céleste.
Ce dimanche à la gloire de notre Seigneur. »

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Vincent H - 18 août 2024 - 8:27

« Bonjour frère Sylvain, je m'Interroge et je pense à ce texte de Roger Garaudy que vous avez pu lire précédemment. Si "bataille de chaque jour", c'est sans doute que vous avez raison sur nos penchants naturels imparfaits. Bon dimanche à vous ainsi qu'à tous et merci de votre réflexion. »

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Christiane - 18 août 2024 - 7:24

« L'amour commence lorsqu'on préfère l'autre à soi-même, lorsqu'on accepte sa différence et son imprescriptible liberté. Accepter que l'autre soit habité par d'autres présences que la nôtre, n'avoir pas le prétention de répondre à tous ses besoins, à toutes ses attentes, ce n'est pas se résigner à l'infidélité à nôtre égard, c'est vouloir comme la plus haute preuve d'amour, que l'autre soit d'abord fidèle à lui-même. Même si cela est souffrance pour nous, c'est une souffrance féconde parce qu'elle nous oblige à nous déprendre de nous-mêmes, à vivre intensément cette dépossession enrichissante : dans la plus amoureuse étreinte, c'est un être libre que nous étreignons, avec tous ses possibles, même ceux qui nous échappent
Être capable d'accueillir en l'autre cela même qui éveille l'animale jalousie, qui est signe d'amour-propre et non d'amour. Cette communication est pleine de risques, mais les crises qu'elle engendre, lorsqu'elles sont surmontées, sont la condition d'un double dépassement.
Rien n'est plus grand que ce partage de la véritable personnalité de chacun. L'autre nous interpelle, fût-ce en nous heurtant, et même si ce choc nous brise, il nous oblige à renoncer à notre fermeture possessive, à devenir autre par la révélation de l'autre.
Un amour qui n'est pas création continuée de l'un par l'autre, fût-ce au prix de déchirements tragiques, est le contraire de l'amour. Nul n'est digne de l'amour qui n'est capable de le conquérir dans une bataille de chaque jour.R.Garaudy »

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Christiane - 18 août 2024 - 7:16

« Un tout grand merci Christiane de m'avoir fait connaître ce texte, je le lirai et le méditerai régulièrement, bon dimanche, Kathy »

kathy - 18 août 2024 - 8:22

« Bonjour frère Sylvain, vous m'avez replongée dans les années 75 en cours de physique-chimie avec un professeur qui nous donnait du Lavoisier par-ci et par-là. J'ai retenu le "...tout se transforme...". Merci pour ces heureux souvenirs.

La vie, les soucis, l'amour nous transforment mais je dirais que l'Eucharistie nous révèle. Révèle notre vrai moi et nous bonifie, nous éclaire.

À la sortie de la messe, il y a de la joie dans l'air, des sourires voire des éclats de rire. Les gens sont à la fête "endimanchés" car invités au repas du Seigneur.

Les coeurs sont chauds car le Seigneur est là qui a partagé son corps (l'hostie/pain) avec ses invités.... comme à Emmaüs.

À toutes et à tous, bon dimanche. »

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Marilou - 18 août 2024 - 6:50

« Bonjour Marilou,
Je partage ce ressenti de la joie à la sortie de la messe. Un moment de bien être qui nous recrée. Bon dimanche à vous »

Christiane - 18 août 2024 - 7:07

« Je partage également cette joie après chaque Eucharistie... »

kathy - 18 août 2024 - 8:24

« Tant mieux pour vous. Pourvu que ça dure. »

IPG - 18 août 2024 - 10:02

« IPG, réjouis toi avec nous au lieu d'être fataliste, savoir regarder la joie et le bonheur autour de nous est une aide à mieux vivre soi-même, kathy »

kathy - 18 août 2024 - 21:28

« « Manger, c’est détruire ! »
D’où, manger c’est détruire?!…
Et en plus, quelle piètre conception de l’amour humain vous jetez en pâture, cher frère…
Cette méditation me désole.
Au moins, elle me conforte dans l’idée que le monde des païens que je côtoie est plus proche du Royaume des Cieux que votre monde religieux… »

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Isabelle - 16 août 2024 - 8:42

« Oui Isabelle, quand vous avez terminé votre dessert ou un délicieux chocolat, il n'y en a plus. C'est une évidence. L'amour humain a souvent tendance à vouloir avoir pour soi l'être aimé, il faut parfois se faire violence pour accepter que l'autre soit heureux sans moi. Rien de tel dans la rencontre avec Jésus Christ , elle donne un sentiment de plénitude qui emplit, nourrit la vie, chaque fois un peu plus. Ce pain là ne s'épuise pas. »

Chantal - 18 août 2024 - 9:53

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